Quant à la forme, la rédaction d'Archè mêle la fiction à la réalité, le roman au rapport d'observations. Hormis quelques épisodes qui furent réellement vécus, les situations sont imaginaires et les personnages pareillement. Les données mathématiques, cartographiques, astronomiques, biographiques et historiques sont authentiques et vérifiables.
Quelques amis, anciens élèves d'un même collège, partagent sur le tard une curiosité commune pour L'Énigme fameuse de Rennes le Château. Le récit rapporte leur avancement dans sa résolution, sur la base des apports, des motivations et des aptitudes propres à chacun d'eux. Malgré la teneur des informations qu'elle dévoile, le but de cette publication n'est évidemment pas d'ouvrir une polémique, de quelque nature que ce soit.
Les relevés de distances et d'azimuts, clichés et schémas, illustrent les propos. Le recours au vocabulaire grec classique est inévitable (la prononciation y est adjointe entre parenthèses).
Un chapitre est consacré aux interventions de Gérard de Sède, Pierre Plantard, Philippe de Cherisey.
Sur le fond !
Il aurait été vain de proposer un nouvelle hypothèse en résolution de cette affaire, s'il n'y avait eu la mise en évidence d'un élément décisif qui ne vienne l'étayer. Il s'agit de l'argument de fond qui, au 19e siècle, a décidé le clergé d'élaborer une communication selon un procédé qui l'a rapidement faite ranger parmi les plus grands mystères. Cet argument n'est autre que la découverte à proximité de Rennes les Bains, d'un monument étrange, exceptionnel. Un vestige oublié là depuis la nuit des temps...
Volume de l'ouvrage 480 pages. Initialement, l’intention ici était de distraire les lecteurs amateurs de secrets et d’intrigues. D’un pas à l’autre cependant, les interrogations n’ont cessé de se multiplier. Une synthèse s'avèrera sans doute nécessaire.
Pour commander
Aucune décision n'a fermement été arrêtée quant au mode de diffusion de ce livre.
L'option choisie cependant sera très probablement celle de l'auto-édition.